Ça fait 22 ans. Vingt-deux ans que j’ai mis la plume de côté, rangé les mots dans un tiroir poussiéreux, laissé le clavier se rouiller. Mais aujourd’hui, c’est fini. Le grosmongol revient. Le re-grosmongol-o-ing est en marche. Pourquoi ? Parce que j’ai la tête trop pleine, les idées qui débordent, les pensées qui s’entrechoquent comme des boules de démolition. Ça me démange de parler de trucs ridicules, de m’étouffer de rire, de cracher ma colère et mon indignation. J’ai envie de créer, de dire des trucs qui n’ont aucun sens, juste pour le plaisir de les dire. Et si au passage, je suis irrespectueux, tant mieux.
Je sais pas où je vais avec ce blog. Ça pourrait partir en vrille, ça pourrait ne jamais décoller, mais au moins, je sais où je suis. Ici, sur grosmongol.com, à remettre les choses en mouvement, à sortir ce qui me trotte dans la tête. C’est un bordel créatif, un défouloir personnel, une aventure sans GPS ni plan. On verra bien où ça mène.
P.S. Le fin observateur que vous êtes remarquera l’usage de la langue anglaise et française. À force de travailler en anglais, certains trucs me viennent maintenant plus facilement en anglais. Deal with it.
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